Les merveilles d’Alice…

Son langage est tellement clair, tellement limpide ; il est la Parole vivante de tout ce que j’ai tenté d’exprimer depuis tant d’années à travers un parcours de vie et quelques écrits que vous pouvez retrouver au fil des pages de mes sites et qu’elle exprime avec infiniment plus de talent que je ne saurais le faire moi-même, avec tant d’intelligence et une telle force de conviction garantie par l’héroïsme de ses actes, que j’ai décidé de lui dédier une page sur le site de Fraternité des Artisans d’un Monde Nouveau, ce monde d’Amour qui prendra naissance à travers une multitude de petits ou grands actes héroïques, émanant d’une armée de Guerriers aux pieds et aux mains nus, et dont elle est sans conteste à ce jour à mes yeux, la Reine des Guerrières…

Ses vidéos, que je relaierai sur cette page au fur et à mesure que je les aurai visionnées moi-même et que je vous invite à savourer sont de véritables leçons de courage, de liberté, d’honneur, d’amour et de vérité.

Je vous conseille d’en prendre connaissance dans l’ordre où elles ont été publiées, en commençant par le bas de la page et en remontant tranquillement le fil.

Vous pouvez bien entendu retrouver toutes ces vidéos et d’autres encore dans leur contexte original.









Une réflexion sur « Les merveilles d’Alice… »

  1. Petit conte…
    Il était une fois une très belle, très grande et jeune flamme qui brillait de son plus bel éclat dans l’obscurité de la nuit.
    Attirée par cet éclat, une toute petite et ancienne flamme, qui brillait bien peu en vérité, à ses pieds vint se prosterner.
    « Flamme » lui dit-elle, « j’admire ton éclat et ta beauté. Vois comme nous sommes semblables ; tu brilles de l’éclat d’une jeune flamme, je ne suis quant à moi qu’une petite flammèche qui n’existe que par la chaleur entretenue du vieux bois qu’elle consume lentement ; mais notre nature est la même : elle est celle du feu qui éclaire et qui purifie. Unissons nous, toi et moi : à ce feu tu apporteras ta vigueur juvénile, je l’enrichirai pour ma part de la substance du bois que je consume avec si peu d’éclat ; ainsi nous ferons un plus grand feu qui se verra plus loin dans la nuit et qui peut-être attirera d’autres flammes qui se joindront à nous pour faire un plus grand feu encore, qui finira peut-être par embraser le monde entier. »
    La jeune flamme, qui brillait fort dans la nuit, émerveillée par la force de son tout nouvel éclat, à ces mots prit peur et se dit :
    « Cette vieille flammèche qui brille si peu dans la nuit veut profiter de mon éclat pour détourner ma Lumière à son profit ! » et d’instinct, elle mit une barrière entre la flammicule et elle, se recroquevillant sur sa propre chaleur naissante.
    « Qu’à cela ne tienne ! » répondit la maigre flamme, « continue de briller de ta belle et forte clarté dans la nuit ; je continuerai de mon côté à consumer lentement le bois qui me tient petitement en vie… »

    L’Univers ainsi restera-t-il privé d’un ardent brasier ?

    Car telle est la véritable et magique nature du feu : les flammes qui se rejoignent s’unissent et se fondent entre elles en perdant leur individualité pour devenir une seule incandescence, d’une chaleur et d’une intensité bien plus puissantes et éclairantes que la somme de tous les foyers individuels qui en furent à l’origine.

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