Construire le Village Icaris


Consulter le projet collaboratif "Construire le Village Icaris"

Si j’ai une vision assez claire de l’état naturel dans lequel nous devrions prospérer, je ne me sens pas une âme de dictateur et, bien qu’intimement persuadé de la justesse de cette vision qui m’a été donnée bien plus que je ne l’ai construite, je ne possède ni le pouvoir ni la volonté de l’imposer, pas plus malheureusement que je ne possède la baguette magique qui me permettrait d’opérer instantanément le changement salutaire auquel aspire tout cœur épris de liberté.

C’est donc dans une création commune que nous pouvons nous retrouver, et je souhaiterais jeter avec vous les bases d’une construction théorique et pratique.

Le problème auquel nous nous trouvons confrontés est celui de passer d’un état de désordre organisé et maîtrisé par le jeu des volontés et des faiblesses individuelles à celui d’un état ordonné naturellement suivant les lois de l’harmonie universelle, totalement indépendantes d’une quelconque volonté humaine.

Se soumettre à l’ordre de la Nature ou à la dictature des hommes : tel est le choix que nous avons à faire…

Nous ne pouvons pas inventer les lois de l’harmonie : nous ne pouvons que nous y soumettre pour notre plus grand bonheur, ou les refuser par le libre arbitre octroyé à notre espèce, générant ainsi le désordre et la souffrance qui est son corollaire. (Les personnes que l’on a laissé s’emparer du pouvoir ne devraient-elles pas elles-mêmes être considérées comme des individus égarés, malades et en souffrance ?)

L’énoncé du problème est donc relativement clair : il s’agit de passer de l’état instable de chaos établi par les velléités de pouvoir des uns et l’abandon (la paresse) des autres à celui de l’équilibre offert par le bon agencement des forces, représenté par l’harmonie.

Reconnaître ce chaos est le premier pas qui peut mener vers sa résolution.
Avoir la volonté de cette résolution est la condition minimale pour y parvenir.

Faire prendre conscience au plus grand nombre de la réalité de ce désordre et convaincre que cet état n’est pas une fatalité me semble donc être la première des tâches à laquelle devrait s’atteler tout adepte d’un Monde Nouveau basé sur la Justice et l’Equité d’un Humanisme avéré et enfin réalisé.
En la matière, poser des questions me semble plus pertinent que vouloir d’emblée tenter d’apporter nos réponses : nous devrions forcer chacun, par un questionnement adéquat, à s’interroger sur la réalité de son propre bonheur, et peut-être devrions-nous, en tant qu’idéalistes, accepter la perspective de disparaître, ou tout du moins celle de nous retrancher, si réellement le très grand nombre se sentait parfaitement bien dans sa condition ; car cela voudrait tout simplement dire que nous ne sommes pas adaptés à ce monde.
En revanche, si venait à se mettre à jour le constat d’une soumission quasi-générale ressentie comme obligée à un ordre non satisfaisant, serions-nous en droit d’espérer une reconfiguration du monde sur un modèle plus conforme à nos aspirations.

Dilapider notre énergie à combattre une armée avec les armes qu’elle cherche à imposer dans un rapport de forces inégales me semble tout aussi illusoire que de vouloir éteindre un brasier ardent avec une faible quantité d’eau ; de même que nous aurions plus de chance de nous préserver de l’avancement des flammes en creusant une tranchée autour du brasier pour le priver de combustible, c’est en usant d’une autre tactique que celle de la contestation souvent contre-productive en ce qu’elle pénalise plus facilement la masse endormie que l’élite dirigeante, que nous aurons me semble-t-il une chance de parvenir à nos fins.

Là où le pouvoir dominateur distille la paresse et l’ignorance, nous devons susciter la réflexion et l’amour de la vérité : c’est en insufflant l’Esprit de Liberté que nous pourrons amener petit à petit la multitude à contribuer à l’élaboration d’un monde nouveau par le détournement d’une partie de l’énergie qu’elle consacre à l’alimentation du système qui l’oppresse.

Il suffirait d’une toute petite partie de cette énergie colossale (par exemple 1€ ou 10€ de chaque personne qui ne trouve pas son compte dans le schéma de société imposé) pour amorcer l’œuvre d’émancipation souhaitée à travers la mise en place de ce que je nomme une Université, qui serait un lieu de vie pour certain, un centre de rencontres pour d’autres, pour tous un espace de recherche, de création, d’édification de l’homme nouveau dans son rapport reconsidéré à la nature et à son semblable, par le remodelage de l’organisation de sa vie en société, son rapport au travail, à la consommation, etc.

Ma suggestion est donc que nous travaillions en commun à l’élaboration d’un document sous forme de questionnaire, de formulaire et de proposition qui inciterait chacun à examiner sa propre condition et juger de la pertinence à insuffler une direction nouvelle à l’humanité et l’intérêt de sa participation, si minime soit-elle.

Avant même de récolter quelque argent, ce qui en soi peut être suspicieux, je propose donc que nous fassions moisson de promesses de participation en recueillant l’adhésion à un projet qui s’exprimerait en premier lieu dans sa virtualité.

Si nous parvenions à fédérer suffisamment de personnes autour d’une simple idée et engager chacune d’elles à une participation même modique (les petits ruisseaux font les grandes rivières…) nous pourrions quantifier l’énergie de départ disponible et ainsi nous mettre en quête d’un domaine à acquérir pour la concrétisation de ce lieu virtuel.

Deux ou plusieurs niveaux de participation financière à un tel projet seraient envisageables :

  • Participation libre et à fond perdu en tant que simple sympathisant ou usager sporadique ou régulier, et n’assurant aucun droit particulier
  • Participation à définir en fonction d’un barème à établir assurant un droit de résidence, cessible mais non remboursable (ceci afin de préserver la structure de tout risque de faillite imputable au retrait d’une partie constitutive trop conséquente, mais en laissant la possibilité à un éventuel investisseur de se désolidariser du projet ou de quitter le lieu en récupérant tout ou partie de sa mise)

Voici donc un lien vers l’ébauche d’une présentation concernant l’exposition d’une architecture d’organisation sociale et sociétale intelligible et souhaitable si possible par le plus grand nombre et qui pourrait être la base d’un travail collaboratif visant à la publication d’un document proposant un projet clair, identifiable et réalisable par la synergie et par l’union des bonnes volontés.

Je vous invite donc à prendre connaissance de ce document et, qui que vous soyez, à contribuer à son élaboration finale selon la procédure qui y est indiquée, et dans l’attente de vos retours, je vous remercie pour votre attention et votre participation.

Olivier Veissid

Vos enfants sont-ils toujours vos enfants, ou sont-ils les enfants de la République ?


Ainsi s’est exprimé le poète dans le rôle du prophète :

Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

Khalil Gibran

J’ajouterai pour ma part, que si vos enfants, que vous avez portés, aimés, élevés ne sont pas vos enfants, encore moins pourraient-ils être les enfants de la République !

Que la République se soucie de la santé et du bien-être de tous les enfants de la Nation, nous ne pourrions que nous en réjouir si toutefois ce droit, voire ce devoir d’ingérence au sein des familles ne se soldait pas trop souvent par une situation bien pire pour les principaux intéressés.

Les témoignages d’enfants arrachés à leur famille, souvent à leur mère, de façon ignoble, pour les isoler d’un parent soit disant trop fusionnel ou pour les remettre directement dans les griffes d’un soupçonné ou avéré prédateur (souvent le père dénoncé par la mère), ou placés arbitrairement en foyer ou en famille d’accueil sous le fallacieux prétexte que certaines normes ne sont pas respectées ou pire encore sous celui d’apporter une aide à la famille, font que nous devrions légitimement nous poser la question du fonctionnement et du bien fondé de l’Aide Sociale à l’Enfance.

Allons nous faire jouer notre droit de citoyen à savoir ce qu’il se passe dans notre pays ?

Ou allons nous simplement nous détourner de ce sujet pourtant crucial du droit de la jeunesse et de la famille sous prétexte que nous n’avons pas d’enfants ou que nous n’en avons plus la charge, ou parce que nous n’avons pas été directement confrontés au problème ?

Pour qui veut bien les entendre, les témoignages sont audibles et poignants de maints abus, biens que souvent étouffés par le silence imposé aux victimes par leurs prédateurs ou celui de ceux qui s’en font les complices en se taisant quand ils savent et pour finir celui de ceux qui préfèrent ne pas savoir…

Il est certes confortable de ne pas savoir : tout le monde peut continuer à dormir tranquillement… Le prédateur peut continuer à se nourrir en toute quiétude de ses proies et le citoyen de la norme heureuse et bien pensante continuer à vaquer à ses distrayantes occupations sans avoir à se poser trop de questions.

Je sens sourdre en moi une étrange et profonde colère : je voudrais pouvoir taper du poing sur la table du Monde et demander que cesse immédiatement ce bal des faux-semblants, que tombent les masques des usurpateurs et des manipulateurs, que La Vérité enfin se révèle et nous sorte de notre torpeur, quitte à nous suffoquer dans sa hideuse apparence et son immonde puanteur !

Au moins aurions nous les ruines d’un monde sur lesquelles nous pourrions espérer en construire un nouveau, un meilleur…

Mais que ferais-je seul face au Monde avec mes pauvres poings ?

Allons nous enfin ensemble nous lever et demander des comptes à ceux qui se servent quand leur rôle serait de servir ?

Fraternité des Artisans d’un Monde Nouveau a pris l’initiative de mettre en ligne cette pétition pour demander aux députés d’user de leur droit pour l’obtention d’une enquête parlementaire sur les us et coutumes de l’aide sociale à l’enfance et de la Justice des Familles.

J’espère que vous serez nombreux à la signer et à la partager.


Résultat après six mois d’existence : 96 signatures….A peine le quart du nombre de personnes se disant victimes ! Bravo l’engagement citoyen ! Que dire de plus ? Dormez, dormez bonnes gens pendant que les malfaisants vont poursuivre tranquillement et impunément leur oeuvre de spoliation…

Lettre ouverte à mes enfants


Mes chers enfants

Je vous écris aujourd’hui cette lettre parce que je ne suis pas sûr que vous ayez pris le temps de prendre connaissance des mises en gardes que j’ai publiées précédemment sur Internet en grande partie à votre intention, et parce que je crois véritablement que l’heure cette fois est suffisamment grave pour qu’il s’agisse maintenant de faire en masse des choix individuels afin d’éviter de sombrer dans un monde privé de toute liberté, si loin de ce que nous avons connu jusqu’à présent, quand bien même cette liberté des individus avait pourtant été déjà largement rognée par les gouvernements successifs, si loin de la vie que chacun peut espérer de son passage sur Terre.

Peut-être allez vous vous dire d’emblée « ça y est, notre père est définitivement tombé dans les thèses comspirationnistes ! ». (Il est d’ailleurs intéressant de noter à ce sujet que les termes complotiste et conspirationniste ne figurent pas dans la plupart des dictionnaires : peut-être finalement une preuve de leur non existence et de leur concept créé nouvellement pour stigmatiser ceux qui remettent en cause l’ordre établi de la bien-pensance et cherchent à faire émerger les preuves du caractère scélérat des instances qui gouvernent le monde ?!)

Croyez vous que ces instances qui gouvernent notre monde, si elles étaient vraiment mues par des visées humanistes et paternalistes auraient depuis des générations laissé des populations entières mourir de faim, alors qu’il serait si simple de régler ce problème endémique dans le monde ?

Il ne s’agit pas ici de remettre en cause l’existence ni la relative dangerosité du virus qui nous pourrit la vie depuis bientôt un an.

Il s’agit de se poser en premier lieu quelques questions.

Et d’abord, celle de son origine et de son apparition.

Pourquoi des brevets sur les corona virus dont un au nom du covid 19 déjà ancien? (Il est encore une fois intéressant de noter que l’accès à ces brevets était aisé jusqu’à il y a peu sur Internet, où il est maintenant bien difficile sinon impossible de retrouver les liens qui mènent jusqu’à eux…)

Pourquoi juste quelques semaines avant le déclenchement de cette épidémie, cette simulation nommée « Event 201 » réunissant  « les décideurs politiques, les chefs d’entreprise et les responsables de la santé » comme en une sorte de répétition générale des conduites à tenir en cas de pandémie mondiale due à un corona virus… ? Le hasard, on le sait fait bien les choses…

Le hasard, encore une fois, a bien fait les choses en déclenchant cette pandémie juste au bon moment pour calmer les mouvements de contestation voire de révolte qui commençaient à naître un peu partout dans le monde, ne trouvez vous pas ? (On n’entend plus guère parler depuis, des gilets jaunes et de tous ces peuples qui se soulevaient les uns après les autres)

Trouvez vous normal d’imposer à vos enfants au prétexte de protection le port de masques dont il est écrit expressément sur l’emballage qu’ils ne protègent pas des virus et ne peuvent être utilisés dans un cadre sanitaire ? (Mais qui à coup sûr les prive d’une saine respiration et les bâillonne dans leur expression dès le plus jeune âge !)

Trouvez vous normal qu’on vous interdise d’aller vous aérer sur les plages ou dans les campagnes ou les forêts, alors que pour vous protéger d’un virus, le grand air vous serait bien plus bénéfique que de rester confinés dans votre maison ou votre appartement ?

Trouvez vous normal, si vous avez le malheur de tomber malade, ce que de tout mon cœur je ne vous souhaite pas, que vous ne puissiez vous en remettre à un médecin à qui vous avez accordé votre confiance, lui-même subissant l’interdiction d’exercer la médecine qu’il professe en son âme et conscience ?

Trouvez vous normal que votre santé et celle de vos enfants soit devenue la seule affaire d’un organisme d’état qui marche main dans la main avec des industries pharmaceutiques qui font des profits immenses avec la maladie, tout en vous interdisant l’accès aux remèdes les plus simples et naturels ?

Allez vous accepter de vous faire vacciner et de faire vacciner vos enfants avec un produit pour lequel vous serviriez de cobaye, pour lequel nombre de voix s’élèvent pour en dénoncer la toxicité et la dangerosité avec leurs multiples adjuvants dont des nano particules et de l’ARN qui modifierait irrémédiablement votre ADN ?

Des voix s’élèvent, et parfois non des moindres puisque parmi elles se trouvent de nombreux scientifiques de renom international, pour nous avertir d’un possible génocide.

En 1938, lorsque déjà s’annonçait le bruit des bottes, qui donnait foi aux camps de concentration et pire, d’extermination à venir ? Sans doute personne ou en tout cas bien peu de monde ne pouvait ou ne voulait croire à pareille infamie… Cette histoire pourtant n’est-elle pas bien réelle ? Est-elle si lointaine dans le temps que déjà nous l’avons oubliée ? Croyez vous que l’Humain depuis ait tant évolué que l’on puisse définitivement écarter la tentation pour certains de réitérer tel funeste dessein et leur tentative de le réaliser à une échelle bien plus grande encore ?

Que penser du monument Georgia Guidestones ?

Le legs d’un visionnaire à une civilisation ultérieure à la notre, ou l’idéal d’une élite qui entend ramener la population mondiale à moins de cinq cents millions d’humains ?

Que penser aussi de cette détestable censure quasi systématique sur Youtube et sur Facebook de toutes les sources non conformes à la soupe préparée dans les bureaux de l’AFP qui nous est servie à la louche en or de leurs patrons milliardaires dans des assiettes quasiment identiques par tous les médias dominants ?

Que penser encore de tous les lanceurs d’alerte ou chercheurs de vérité supprimés ou emprisonnés à travers le monde ?

Je sais qu’il est confortable, au milieu de tant de bruit, de se boucher les oreilles, de tout balayer d’un revers de la main et de faire comme si de rien n’était, continuer à vouloir vivre comme avant en se disant que ce n’est qu’un mauvais moment à passer, que ceux qui nous gouvernent font de leur mieux, que cette crise sanitaire prendra bien fin un jour ou l’autre…

Je vous en prie, ouvrez les yeux : ceux qui nous gouvernent ne veulent pas notre bien !

Il n’est qu’à voir : ils trouvent des milliards à distribuer encore en majorité aux grandes entreprises tout en condamnant à la faillite la majeure partie des petits indépendants, mais ils continuent à fermer des lits d’hôpitaux !

Ils tentent de nous priver de tous nos droits fondamentaux en n’offrant comme perspective de libération que le poison qu’ils ont prévu de nous infuser dans les veines et pour lequel déjà certains préconisent le caractère obligatoire…

Gageons que l’une des prochaines mesures « sanitaire » sera la tentative de faire disparaître les pièces et les billets devenus dangereux puisque passant de main en main, au profit de la seule monnaie électronique, ce qui permettrait du même coup à l’Etat d’avoir la main mise sur chacun de nos moindres faits et gestes !

Est-ce bien là ce que nous voulons ?

Ajoutez à cela les perspectives du brevet WO/2020/060606 de Microsoft, nous serons devenus des esclaves parfaits !

Je vous en prie, réveillez vous pendant qu’il en est encore temps !

Sachez qu’au regard de notre constitution, chapeautée en tout premier lieu par la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, le gouvernement de la France s’est rendu illégitime en Février 2008 lorsqu’il a ratifié le traité de Lisbonne, en tous points identique au projet de constitution européenne pourtant rejeté par référendum par une majorité de Français ; qu’un Conseil National de Transition a été mis en place le 18 juin 2015 par proclamation, déclaré en bonne et due forme le 29 septembre 2015 à l’ONU ; que ce Conseil National de Transition n’est pas un parti ni un mouvement politique, qu’il est l’outil permettant au peuple de récupérer sa légitime souveraineté. (« La reconnaissance officielle par la France d’une entité représentative similaire ayant été validée par monsieur Nicolas Sarkozy à propos de la Libye ; le texte établi à cette occasion ayant été par la suite admis juridiquement par les pays de l’axe OTAN/USA qui l’ont validé, il n’y a donc pas lieu d’en nier la validité diplomatique, ni d’en discuter le fondement légitime. »)

Je vous invite donc solennellement à prendre connaissance des dispositions de ce Conseil National de Transition sur le site internet https://conseilnational.fr/ , à le rejoindre sans plus tarder et à inviter tous vos amis et connaissances à faire de même.

Cela m’apparaît aujourd’hui comme un devoir citoyen si nous voulons sauvegarder les valeurs qui sont chères à notre Patrie, celles qui flottent sur notre drapeau et sont inscrites aux frontons de nos monuments, qui sont le fondement et le ciment du peuple de France, lui-même de tradition, Eclaireur pour les autres peuples : Liberté, Egalité, Fraternité.

Ce n’est qu’au prix d’un grand rassemblement de résistance à l’oppression en dehors de toute idéologie politicienne et digne de l’héritage que nous ont laissé nos prédécesseurs dont beaucoup sont morts pour notre liberté que nous avons donc le devoir de sauvegarder ne serait-ce que par égard à leur Mémoire, que nous pourrons retrouver les gestes simples et les droits originels qui sont la saveur même de la vie.

Espérant que ces mots sauront toucher votre cœur et vous faire réagir, je vous embrasse très affectueusement.

Olivier


Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789

Le gouvernement continue de supprimer des lits d’hospitalisation : la carte des hôpitaux concernés

D’ éminents scientifiques du monde entier se sont regroupés et ont décidé de prendre la parole pour dénoncer l’ instrumentalisation du Covid19.

A voir avant de critiquer : le documentaire Hold Up !

Lettre ouverte au Président de la République, Aux membres des gouvernements, A mes compatriotes

Monsieur Le Président de la République,

Nous pouvons constater sur un grand nombre de vidéos postées sur l’Internet relatant les manifestations que connaît notre pays depuis plusieurs semaines, certaines actions de la police qui semblent franchement sortir du cadre de la mission d’ordre public qu’une population est en droit d’attendre de ses gardiens de la paix. Il est possible de voir sur certaines, de pacifiques citoyens se faire matraquer par des agents armés pour le simple fait qu’ils sont en train de filmer, autrement dit de témoigner ; témoigner deviendrait il un délit que la police aurait le droit de sanctionner directement par un acte violent ? 
Sur d’autres, ce sont des personnes déjà âgées et d’allures parfaitement respectables qui se font violemment agresser par ces mêmes agents alors qu’elles ne représentent de toute évidence pas le moindre danger pour ces hommes armés censés les protéger…
Est-ce là l’image de l’Ordre Républicain que vous défendez, que vous cautionnez, dont vous êtes le premier représentant et par là même le premier responsable ?

De tels agissements sont-ils dignes de représentants d’une force censée être là pour mettre à l’abri des actes des délinquants la population dont vous avez la charge ?
De quel Ordre ces policiers sont ils les représentants ?
Sur ces images, qui sont les agresseurs ?
Bien sur, nous n’en pouvons pas douter, ces personnes affublées de gilets jaunes, visages découverts et déjà âgés sont les chefs d’une dangereuse bande de délinquants qui mettent en péril la sécurité de ces fragiles gardiens de la paix…
Votre silence face à de tels actes, Monsieur le Président de la République, vous désigne comme pire que simple complice : comme le responsable en premier lieu de tels agissements, et vous ne sauriez échapper soyez en sûr, vous et vos ministres, au devoir un jour d’en rendre compte.
Nous comprenons la fatigue des policiers soumis à une charge de travail et à une pression telle qu’ils sont poussés parfois à des débordements desquels ils ne seraient peut-être pas la proie dans des conditions normales d’exercice.
Mais cela ne peut excuser une telle dépravante anarchie.
Et de cela aussi vous êtes responsable, Monsieur le Président de la République, vous, votre gouvernement et les gouvernements qui vous ont précédé, qui n’ont eu de cesse que de détruire le socle d’une société fraternelle basée sur la mutualisation des richesses et des moyens pour en faire un jeu sordide de monopoly grandeur nature, dans lequel l’humain n’est plus qu’un facteur négligeable s’il peut être remplacé à bon compte dans la création d’une richesse illusoire au service de quelques intérêts privés, qui répandent et cultivent la misère dans le monde !

Et puisque enfin vous daignez me donner la parole, Monsieur Le Président de la République, à travers le débat national que vous avez bien voulu instituer, voici ma contribution.
Si vous prenez réellement acte de l’ampleur de la crise et de l’urgence en laquelle se trouve le monde, vous comprendrez aisément que les vielles recettes de l’économie capitaliste que vous défendez ne sont pas à même de sauver ce qui pourrait l’être encore.

Dans la vision que je porte, l’Etat étant à la fois le cadre et l’expression de la citoyenneté, chaque ressortissant est un fonctionnaire au sein de cet Etat, ce qui signifie qu’il y détient une fonction en adéquation avec ses compétences et sa force de travail, créant ainsi de la plus value et lui offrant les conditions de base à une existence digne.

L’impôt est déterminé par le nombre d’heures obligatoires de participation à l’édification d’une richesse nationale (le trésor public) défini par un contrat social réactualisé par le vote à intervalles réguliers pour en fixer les objectifs, et égal pour chacun en fonction de son appartenance à une classe d’âge.
Considérant la force de travail d’une Nation toute entière, cette imposition en temps devrait laisser à chacun, la base de son existence en outre étant assurée, le loisir d’organiser le reste de sa vie comme il l’entend selon ses aspirations personnelles.
Libre à chacun de se contenter des conditions basiques d’existence que lui procure sa participation obligatoire à la richesse collective, de s’enrichir personnellement par un commerce redevenu libre entre les individus, ou de s’engager plus profondément dans l’œuvre publique par une contribution supplémentaire compensée par un système de privilèges octroyés en fonction de la charge.
Un tel système impose des comptabilités différentes et sans porosité entre la sphère publique et la sphère privée, celle-ci étant devenue totalement indépendante de celle-là, l’Etat n’ayant alors plus droit de regard sur la richesse individuelle pourvu que celle-ci soit acquise en toute légitimité dans la légalité, cette dernière cependant ne pouvant servir de dérogation à la contribution obligatoire définie par le contrat social. Cela implique donc des monnaies d’échanges différentes.

Dans un tel système, après redéfinition de ce qui est privatisable et de ce qui ne l’est pas, l’exploitation ou la confiscation indue de la force de travail, qui est à l’origine d’une misère grandissante et qui fait le lit de la révolte devient impossible, chacun étant assuré par sa participation à l’œuvre collective des conditions dignes de son existence. 
L’action publique n’est pas engagée par un impôt financier, mais par une contribution équitable de chaque citoyen basée sur le temps, la compétence et la force de travail.
De ces trois facteurs, à eux seuls nécessaires et suffisants pour la création d’une richesse publique, seul le temps représente une valeur égale pour chacun : nous sommes tous égaux face à lui, et l’équité exigerait donc ici l’égalité en ce qui concerne la juste participation de chacun à l’édification de l’œuvre publique par l’impôt.

La richesse ne se crée pas grâce à un investissement monétaire : cela n’est qu’une grossière supercherie édifiée par les intérêts privés qui prétendent s’enrichir à bon compte par la force de travail détournée.
La richesse se crée uniquement par la transformation de la matière, qui ne requiert pour cela, outre la matière initiale, que le temps, la compétence et la force de travail.
Il serait vain de prétendre endiguer la crise en laquelle se trouve le monde sans s’attaquer directement à la cause première qui la provoque ; cette cause, c’est sans aucun doute possible, le débordement des intérêts privés sur l’intérêt collectif.
Il ne s’agit pas de nier le droit à l’intérêt privé : il s’agit d’en restituer le juste cadre.

L’Etat ne saurait sans détournement être une entité qui s’oppose à la population qui le compose : il devrait être dans l’acception même de son nom, la résultante de toutes les forces individuelles de ses ressortissants. Son unique objet est d’offrir, par la contribution de chacun et le juste partage de la richesse ainsi créée, le meilleur cadre de vie possible dans le périmètre de son étendue.
L’Etat n’a besoin pour exister, d’aucun budget prévisionnel, car il est riche à l’avance de l’immense force de travail et de transformation que représente même une infime partie du temps et de la compétence de chacun et de l’ensemble de ses ressortissants. Le seul calcul à effectuer est celui du nombre d’heures que chacun devrait consacrer à cette entité pour créer le cadre de vie qui permettrait l’accès pour tous à des conditions d’existence dignes et équilibrées entre le temps dédié à la collectivité et celui dédié à l’intérêt privé.
Le service public ne peut être comparé à l’entreprise privée, car les objectifs de l’un ne peuvent être confondus avec les objectifs de l’autre.
Le service public a pour double mission d’offrir à chaque ressortissant une raison sociale en lui permettant de participer par sa juste contribution en temps, compétence et force de travail à la création d’une richesse collective, et de répartir équitablement la richesse ainsi créée.
L’entreprise privée a quant à elle, comme son nom l’indique, pour objectif de constituer un capital en servant des intérêts individuels qui ne vont pas forcément dans le sens de l’intérêt collectif. 
C’est pourquoi il est parfaitement fallacieux de vouloir confier des missions de service public à des entreprises privées.
Restaurer un véritable service public sur lequel l’Etat reprendrait totalement la main comme il se devrait, ne saurait se faire à l’heure actuelle sans remettre en cause la légitimité de la privatisation de certaines ressources de la planète et du territoire.
Sans entrer ici dans un développement qui à lui seul demanderait l’organisation d’un grand débat, il semblerait qu’un examen même assez superficiel permettrait de mettre à jour l’appropriation abusive de certaines de ces ressources.

Vous affirmez, Monsieur Le Président de La République, que la France n’est pas un pays comme les autres…
A quel titre, n’est il pas un pays comme les autres ?
Ne s’est il pas lancé comme les autres dans la course folle et délétère que représente une économie basée sur les seules notions de marché mondial et de concurrence ?
Les fleurons même de notre économie nationale dont vous vous faites volontiers le premier représentant à l’étranger ne sont ils pas des industries aveugles et létales qui sèment dans le monde la misère, qui prospèrent et fleurissent sur cette misère, qui engagent, si tant est que nous leur offrions seulement un espoir de survie, les générations à venir pour des siècles voire des millénaires, en leur laissant en héritage des technologies que nous utilisons allègrement sans en maîtriser ni les tenants ni les aboutissants ?
Nous n’avons que faire, Monsieur Le Président de La République, des investisseurs étrangers qui ne sont là que pour piller notre patrimoine national !
Vous n’avez pas été élu pour être le représentant des grands groupes privés qui ne paient pas l’impôt, ou si peu, et qui affament les populations en s’enrichissant outrageusement par la confiscation du travail et le détournement des richesses !
Vous avez été élu pour porter la Voix de La France !
Alors écoutez la enfin La France, qui gémit et qui déjà se lève !
La France vous dit qu’elle ne veut plus de la misère !

Et puisque tel est votre rôle, Monsieur Le Président de La République, allez dire au reste du monde, et La France alors ne sera plus un pays comme les autres, que La France ne réclame pas seulement plus de justice et d’équité : Elle désire La Justice et L’Equité !

L’Etat ne saurait être l’ennemi du citoyen tant que celui-ci évolue en toute légitimité dans le cadre d’une légalité elle-même issue d’une véritable concertation démocratique au sein de laquelle il devrait être appelé à donner son avis et consentement à chacune des étapes de sa constitution.
La représentation élective ne devrait être là que pour simplifier le débat en portant la parole des citoyens de manière audible afin par exemple de proposer une constitution et des textes de loi, mais en aucun cas l’élu ne devrait avoir un quelconque pouvoir décisionnel sans que celui-ci ne puisse être directement et immédiatement remis en cause par ceux-là mêmes qui lui ont confié la mission de porter leur parole.

Une véritable démocratie exige que chacun concerné par une loi puisse prendre part à son établissement et à son vote. Toute autre forme n’est qu’un ersatz destiné à endormir les consciences dans le but de servir des intérêts privés.
Cela suppose une éducation et une implication populaires qui sont à l’antipode des politiques gouvernementales qui œuvrent non pas dans le sens du bien public mais dans celui des intérêts privés.
Pourquoi donc le Référendum d’Initiative Citoyenne vous hérisse-t-il donc autant, Monsieur le Premier Ministre ?
N’est-il pas au contraire la base et le garant d’une réelle démocratie ?

Mais quand bien même, puissants du monde, vous abdiqueriez votre pouvoir usurpé au profit des détenteurs véritables de la science, que pourrions nous raisonnablement espérer sauver de ce monde mené à la faillite par des siècles d’obscurantisme ?

Vous nous parlez de « transition écologique » comme si nous avions encore du temps devant nous, comme si nous pouvions espérer continuer de concilier la sauvegarde de l’humanité et le vieux modèle sur lequel vous avez bâti votre prospérité en instituant un mode aberrant de consommation au détriment de vos frères, des autres espèces, de la planète qui nous héberge…
Ce vieux modèle que vous avez érigé comme un temple est déjà tombé, et si vous n’en avez pas encore conscience, c’est sur ses ruines qu’à présent vous évoluez.
Vous nous demandez quel est selon nous le problème le plus prégnant : la pollution des eaux, la pollution de l’air, les bouleversements climatiques (dont contrairement aux autres problèmes on ne peut affirmer qu’ils soient uniquement l’œuvre de l’homme). Vous ne parlez même pas de la démographie galopante qui devient pourtant un des véritables sujets dont il faudrait s’inquiéter, car nous sommes aussi assidus à nous multiplier que nous le sommes à supprimer les autres espèces…
Vous nous demandez quel est le problème le plus prégnant afin de lui distiller un remède homéopathique à l’heure où vous prétendez priver les populations du recours à une telle médecine… Or, si nous sommes adeptes des traitements homéopathiques, nous savons bien qu’ils peuvent opérer en phase de développement de la maladie, mais qu’ils deviennent bien peu efficaces dans sa phase terminale…

En vérité, il n’est pas un problème qui soit plus urgent à régler que l’autre. 
Il est tout simplement urgent de sauver ce qui peut l’être de l’incendie : non pas l’avoir, mais l’être.
Les civilisations, tout comme les individus ont une naissance, un développement, une mort…
Nous savons, lorsque nous avons eu la chance d’atteindre un certain âge, que nous allons inéluctablement vers notre propre mort. Faut-il être un grand sage pour prédire qu’une civilisation qui s’est étendue sur toute la surface de la planète qui l’accueille, sans aucun égard pour celle-ci, consommant sans vergogne plus qu’elle ne saurait produire tout en laissant derrière elle un amas de déchets indestructibles, et cela sans la moindre volonté de freiner son accroissement, faut il être un grand clerc pour prédire qu’une telle civilisation touche à sa fin ?

La seule chose qui nous soit à présent permise d’espérer n’est-elle pas que l’humanité toute entière ne soit ensevelie et périsse misérablement dans l’inéluctable chaos, mais qu’au moins soit sauvée la somme des connaissances si chèrement acquises au fil des millénaires par la chaîne ininterrompue des générations, des sacrifices et des expériences à travers son éblouissante histoire, en construisant s’il en est encore temps, sur les ruines fumantes du temple de la consommation, les fondations du Temple de la Connaissance ?

Compte rendu d’audience…


Poursuivi sans que ne fut contrôlée mon identité pour non port du masque lors de la manifestation du samedi 25 septembre 2021 à Épinal, au terme d’une procédure d’appel compliquée par la violation de l’article 530-1 du code de procédure pénale par l’Officier du Ministère Public (recours déclaré frauduleusement irrecevable) j’étais entendu par le juge à l’audience du Tribunal Judiciaire d’Épinal le 17 octobre 2022 pour y faire valoir mes arguments.
Compte rendu d’audience…

Madame la Présidente : “… Vous n’avez pas d’avocat ? Vous avez le droit de garder le silence, de faire une déclaration spontanée ou de répondre à mes questions”.

Le prévenu (moi) : “Madame la Présidente, je souhaite faire une déclaration spontanée, cependant les mots ne sortant pas de ma bouche avec une telle fluidité naturelle que la musique sous mes doigts, j’ai pris soin de rédiger sur papier mon argumentaire, et je demande que me soient octroyées dix petites minutes pour pouvoir vous l’exposer dans son ensemble…”

Madame la Présidente : “Faites…”

Je commence donc ma lecture avec conviction, en regardant tantôt Madame Le Juge, tantôt Madame Le Greffier, parfois Monsieur l’Officier du Ministère Public…

Mais encore une fois, c’est à une parodie de Justice que nous avons pu assister, avec d’un côté un juge tout puissant mais pris entre les deux feux de sa propre conscience et le jeu des pouvoirs internes de la hiérarchie institutionnelle qui lui retire sa véritable indépendance, et de l’autre un prévenu coupé dans sa parole lorsque celle-ci, dite avec conviction (peut-être un peu trop ?) énonce quelque vérité difficile à entendre dans le ronronnement habituel du flot des contestations de contraventions, le plus souvent liées à la circulation automobile…

Je n’ai donc malheureusement pu exposer, malgré la promesse de Madame Le Juge faite au départ, mon argumentaire dans son intégralité, ayant été sommé de me taire à l’instant où je dénonçais l’utilisation du masque comme outil de bâillonnement du peuple.
De même que la parole à nouveau me fut coupée lorsque je produisais la photo de la Une du journal montrant M Le Maire non masqué en tête de file de la contre-manifestation : “Nous sommes là pour juger votre affaire, pas celle d’un autre” me dit en substance La Présidente, donnant la parole à l’officier du ministère public afin qu’il énonce sa réquisition.
Celui-ci, sans pour autant que je puisse déceler une véritable animosité malgré mon grief porté à son encontre réclame une amende de 150€.
La Présidente me donne alors à nouveau la parole comme il se doit et me demande si j’ai quelque chose à ajouter pour ma défense.
J’ajoute alors que le procès verbal stipule que j’ai été intercepté, ce en quoi je m’inscris en faux : seule mon image a été interceptée.
Déstabilisé par le fait d’avoir été coupé dans mon argumentaire, instamment prié de résumer, j’ai oublié d’en exposer la conclusion en forme de réquisition et n’ai pu malheureusement exprimer tout ce que j’avais projeté d’exprimer.
Après une extrêmement brève délibération de Madame Le Juge avec elle-même, celle-ci décide de me condamner, certes légèrement en dessous de la réquisition du ministère public, mais en contradiction avec les points évoqués de La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui décidément ne représente plus grand chose dans notre soi disant État de Droit, à 135€ d’amende plus 31€ de frais.
Cette sentence, sans aucun doute mériterait un pourvoi en cassation.
Seulement, dans notre bon État de Droit, cette procédure est réservée au citoyen dont la bourse est bien remplie…
Comme quoi encore une fois, il y a une Justice pour les riches, et une justice pour les pauvres !
Pour moi, la chose est claire : sauf à ce qu’un groupe de citoyens prenne en charge la procédure pour arriver peut-être à une jurisprudence ou mener l’affaire devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, je jetterai l’éponge et limiterai les frais en réglant l’amende dans les 30 jours afin de bénéficier des 20% de remise…
Échec lamentable j’en conviens…
Mais si j’estime de mon devoir de résister en portant la contestation jusque devant le tribunal, je ne suis pas là non plus pour mourir en martyr pour une population qui en tout état de cause préfère rester sourde…


Donc, à saisir dans les cinq jours : si un collectif de citoyens veut porter l’affaire en cassation, je suis prêt à endosser le rôle malgré tout contraignant d’élément déclencheur.

Voici la déclaration que j’avais prévu de faire si avait été respecté mon droit à la parole pour mener jusqu’au bout ma défense : (en rouge ce que je n’ai pu ou su exprimer à l’audience)

En premier lieu, je voudrais signaler la tentative d’obstruction faite à mon bon droit par l’Officier du Ministère Public en rejetant ma requête initiale au mépris de l’article 530-1 du code de procédure pénale qui plus est par un courrier dans lequel il est fait référence à un arrêté daté du 1 octobre 2021 pour une contravention établie le 25 septembre de la même année.

D’autre part, n’étant pas un spécialiste, je me défendrai moins sur le plan de la Légalité et du Droit, que sur celui de la Légitimité et de l’Éthique.

La mémoire collective est bien courte, et nous avons déjà oublié combien la soumission aveugle à ce qui nous est présenté comme la Loi même lorsque celle-ci nous est imposée de manière tout à fait arbitraire, c’est à dire sans qu’elle puisse être justifiée par un bénéfice mesurable à l’échelle de la communauté mais apparaissant au contraire comme ne servant que des intérêts privés, nous avons déjà oublié combien la soumission aveugle à la Loi peut être le facteur de la ruine de l’Humanité.

Sans prétendre être un citoyen modèle, je pense être un citoyen généralement respectueux de la Loi, même quand celle-ci me heurte ou me désavantage, conscient que la Loi découle d’un compromis entre la liberté individuelle et l’agencement du lieu et du bien publics, et que la paix sociale s’établit dans le respect de celle-ci par tous et par chacun.

La Constitution sur laquelle sont assises notre République et notre démocratie me garantit à travers l’article Deuxième de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, les droits fondamentaux de la liberté, de la propriété, de la sûreté et de la résistance à l’oppression ; j’estime dès lors de mon devoir, lorsque la Loi ne me paraît plus légitime, lorsqu’elle prétend me priver de mon libre arbitre en ce qui concerne la partie essentielle de mon être qu’est la gestion de la santé de mon propre corps et me priver de mon droit le plus fondamental, le premier qui m’est attribué à l’instant même de ma naissance : celui de respirer librement ; lorsque la Loi prétend me priver de mon droit le plus essentiel au point de mettre ma santé en danger, j’estime alors de mon devoir de déroger à l’application de la Loi en vertu des garanties sus-mentionnées.

J’entends la notion de santé publique, et je comprends que mon devoir de citoyen me pousse à rester moi-même en bonne santé afin d’éviter de devenir un agent contaminateur de maladie à l’encontre de mes pairs.

En ce qui concerne la gestion de la Covid19, outre le fait que le masque était clairement dénoncé par les autorités en charge de la politique de santé publique comme inutile voire nuisible en temps de pénurie et que ces mêmes autorités le déclarent indispensable jusqu’en les endroits les plus aérés dès lors qu’il y avait des stocks à écouler ; outre le fait de la mention apparaissant sur les emballages que les masques vendus ne protègent ni des virus ni des bactéries et ne peuvent en aucun cas être utilisés dans un cadre sanitaire ; outre le fait que l’on nous présente la doxa gouvernementale comme une vérité définitivement établie par consensus de la communauté scientifique alors que plus de 165 études prétendent démontrer le contraire, que les voix des plus éminents spécialistes sont discréditées et réduites au silence dès lors qu’elles divergent de cette doxa, j’estime que la mesure obligatoire du port du masque en extérieur me prive de mon libre arbitre concernant la gestion de ma propre santé et me met directement en danger en ignorant délibérément le risque grave sinon l’effet avéré d’une telle mesure, lié à l’effondrement de mon immunité naturelle (dont jamais il n’a été question depuis le début de la gestion de cette maladie) par une pratique que d’instinct je ressens comme contraire à la pérennisation de mon bon état de santé, et que cette atteinte grave à mon droit primordial de respirer librement est de nature à déclencher mon droit en tant qu’individu et mon devoir en tant que citoyen, de résistance à l’oppression établit par la Constitution.

A qui viendrait-il l’idée de garnir ses fenêtres de grillage à poules pour se prémunir d’une invasion de mouches ? C’est pourtant à peu près ce qu’il nous est demandé de faire en portant un masque pour nous protéger d’un virus ! (taille d’un virus : 400 nanomètres / taille des mailles d’un masque 3000 nanomètres).
De toute évidence la mesure ne peut trouver de réelle justification sanitaire, mais elle agit efficacement en tant qu’outil de bâillonnement du peuple, au sens propre et figuré, peuple que d’un point de vue de l’Histoire il devenait urgent de mater et de réprimer pour éteindre le mouvement de révolte planétaire qui embrasait le monde juste avant l’arrivée à point nommé de cette épidémie changée en pandémie par la magie de la fluctuation des définitions de l’OMS…

Si je puis accepter de jouer brièvement le jeu de la soumission tant qu’il s’agit de porter cet instrument de déshumanisation dans certains lieux clos, où en fermant les yeux, je peux lui trouver un semblant de justification, en revanche trop, c’est trop, et ma dignité d’homme m’impose de résister à ce jeu de dupes lorsque en plein air l’effet contre-productif de la mesure sur l’état de santé n’est que trop flagrant et aisément démontrable pour pouvoir être ignoré.
Tel était le sens de ma présence à la manifestation du 25/09/2021, et je ne nie pas l’infraction qui m’est reprochée et je la revendique comme l’exercice de mon droit et devoir de résistance à l’oppression et comme un acte civique envers mes concitoyens afin de les alerter d’un risque majeur.
Ce que je remets en question par contre, c’est le mode d’établissement du procès verbal de contravention.
Je souhaite ici rappeler le principe d’égalité des citoyens devant la loi, qui est l’un des fondements de notre République et qui est garanti par l’article Premier de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
Or, j’observe un premier élément qui vient mettre à mal ce principe d’égalité.
La manifestation aurait été nassée, l’identité de chaque manifestant relevée et le PV établit pour chacun d’eux, peut-être n’aurais-je rien trouvé à y redire.
Encore que…

Certaines personnes ont fait l’objet d’un contrôle d’identité. J’ignore si PV s’ensuivit, mais si tel est le cas, nous pourrions avec beaucoup de bonne volonté accepter l’idée de la rupture d’égalité en invoquant le sort : la souris s’est fait prendre par le chat, mais au moins la chose est-elle actée…
N’ayant été l’objet d’aucun contrôle d’identité, comment se fait-il qu’un PV fut établit à mon encontre ?
Le simple fait d’une (relative) notoriété fait-il de moi un citoyen différent des autres ?
Où se trouve l’égalité de traitement si le simple fait d’être connu d’un officier de police autorise une sanction pour contravention sans l’établissement d’un constat dûment acté par un relevé sur le terrain, sanction impossible à exercer sur la personne commettant la même infraction, mais pour laquelle l’autorité ne saurait, sans un contrôle, définir l’identité ? Donc que la notoriété fasse de moi une personne plus vulnérable que les autres, j’y constate une rupture d’égalité de traitement devant la Loi.
Admettons cependant que la notoriété implique une vertu exacerbée et un devoir d’exemple justifiant cette différence de traitement…
Mais qu’en est-il alors de cette autre personne, autrement plus notable que je ne le suis moi-même, apparaissant sur la Une d’un quotidien régional, acteur primordial et non masqué de la contre-manifestation organisée le même jour et au même lieu ?
Si l’édile ne se trouve pas comme prévenu à mes côtés, est-ce du fait qu’il ait régulièrement réglé l’amende qui lui a sans doute aussi été présentée, puisqu’il aurait pu difficilement échapper à la reconnaissance de l’officier de police au regard si affûté ?
Ou bien est-ce du fait qu’aucune contravention ne lui ait été signifiée ?
Ce qui constituerait alors une double rupture d’égalité entre citoyens, la notoriété se révélant pour l’un un handicap quand pour l’autre elle serait un gage d’immunité, alors même que nous serions en droit d’attendre que le rôle de premier personnage de la commune soit d’être un exemple pour tous…

Au nom du droit et du devoir de discernement et de résistance à l’oppression et au nom du principe d’égalité des citoyens devant la Loi, tous garantis par La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, socle de notre République, j’ai donc l’honneur de demander que soit prononcée ma relaxe et le non-lieu en ce qui concerne la poursuite à mon encontre, ainsi qu’un rappel à la Loi à l’adresse de l’Officier du Ministère Public en ce qui concerne l’application de l’article 530-1 du code de procédure pénale.

Penser et enseigner au sein de l’Education Nationale… Ces deux activités sont-elles compatibles ?


Pascal Corradini est enseignant dans les Vosges, en conflit avec sa hiérarchie pour avoir osé remettre en cause le système de notation des étudiants, et surtout pour ses critiques envers la position de l’Education Nationale qui selon lui outrepasse ses attributions en se faisant l”agent d’une politique sanitaire autoritaire incluant l’obligation du port d’un masque aux effets délétères ainsi que la promotion d’un produit injectable ne disposant que d’une Autorisation de Mise sur le Marché conditionnelle et toujours en phase de test, dont les effets à courts termes peuvent se révéler catastrophiques, dont on sait peu sur les effets à moyen terme, et rien sur les effets à long terme…


Entre deux maux, lequel choisir ?


Entre le risque d’incendie dans la maison et l’incendie qui gagne dans la forêt qui entoure la maison, où se situe la véritable urgence ?

Le deuxième tour de ces élections présidentielles nous met face à un choix cornélien.
S’abstenir, c’est un peu se laver les mains comme Ponce Pilate en se plaçant au-delà de la mêlée et tenter de sauvegarder sa bonne conscience en s’en remettant au choix du plus grand nombre (ou de celui qui parle le plus fort) : il sera aisé par la suite de dire, quel que soit le mal qui rongera notre société, « moi, je n’y suis pour rien : je n’ai pas participé à faire ce choix ».

La vérité, c’est que s’extraire du choix, c’est donner sa voix à celui qui l’emportera.

Choisir entre deux maux, ce n’est pas se déclarer en soutien de celui que l’on désigne comme le moins redoutable : c’est avant tout repousser dans l’urgence celui qui nous anéantira à coup sûr.

Entre un menteur avéré et un menteur potentiel, je préfère laisser sa chance au menteur potentiel, qui certes s’il représente le risque d’incendie dans la maison se propose malgré tout de combattre avec moi l’incendie dans la forêt qui entoure la maison : car à bien y réfléchir, si je mets toute mon énergie à combattre le risque d’incendie de la maison en ignorant celui qui déjà embrase la forêt, ce dernier aura tôt fait d’emporter finalement la maison dans son œuvre destructrice.

Entre un hypothétique fascisme national désigné à la vindicte générale avant même d’avoir eu l’occasion de démontrer la réalité de son état et un fascisme mondial dont on a pu constater la réelle avancée dans le quotidien de nos vies, mon choix est clair et net : je choisis de porter d’abord le fer contre l’entité la plus terrible qui se cachant sous son discours mondialiste et mielleux de prétendue égalité et d’universalité des droits -mais surtout des devoirs !- n’a de cesse de mener le peuple à l’esclavage tout en favorisant à outrance la minuscule caste des dirigeants.

Et ce n’est pas en catimini, honteux et la tête basse que j’irai dimanche 24 déposer mon bulletin dans l’urne en faveur de la personne dont le langage explicitement xénophobe me répugne et pour laquelle jamais je n’aurais imaginé pouvoir un jour aller voter !

Cela ne veut pas dire que tout à coup j’épouse ses idées, et je lutterai contre ses méfaits si d’aventure elle parvient au pouvoir qu’elle convoite depuis tant d’années, aussi bien que je lutte aujourd’hui contre les méfaits de celui qui se réclame du Nouvel Ordre Mondial auquel lui et ses acolytes ont promis que nous n’échapperons pas. Ce nouvel ordre mondial, faut-il être aveugle pour ne pas le constater, n’est pas de nature humaniste !

Je n’appelle pas au repli nationaliste, mais j’appelle, oui, à un rassemblement de nature culturelle autour de valeurs qui nous sont chères, incluant notre langue, l’outil d’une pensée qui nous est propre avec lequel nous pouvons définir des concepts tels que ceux de Liberté, d’Égalité et de Fraternité dont la France des Lumières avait fait sa Devise, que ce nouvel ordre mondial qui nous est promis est en train de diluer savamment dans un sabir insipide et approximatif, éloignant inexorablement le peuple paresseux d’une pensée constructive et libératrice, l’engluant dans un langage genré et une écriture dite inclusive devenue illisible et qui n’est en définitive qu’une écriture d’exclusion en ce qu’elle exclut tout ce qui n’est expressément nommé, faisant fi de toutes les évidences d’inclusions normatives qui était jusqu’à il y a peu la règle et l’agent de sa fluidité.

Ainsi, c’est sans autre état d’âme que j’irai déposer dans l’urne le bulletin portant mention d’un nom qui jusqu’alors n’a provoqué en moi que rejet par les relents xénophobes attachés à sa simple évocation ; et j’en demande pardon à tous les étrangers qui pourraient s’en trouver lésés. Mais j’agirai de la sorte, parce que si son nom peut être un danger pour la France, il ne peut l’être à mon sens, si bien sûr la personne n’en est pas l’agent doublement caché, autant que ce Nouvel Ordre Mondial qui ne fait pas que frapper à notre porte, mais qui est déjà bel et bien installé, en marche et si bien représenté à la tête de notre Pays ! Et puis aussi parce que, dans ma grande naïveté peut-être, je me dis qu’une femme au pouvoir serait possiblement plus à même, en son instinct maternel, de prendre soin des enfants d’une Nation.

Le scandale du placement abusif d’enfants : un rapt institutionnel organisé ?


C’est un véritable coup de gueule que pousse Maître Michel Amas contre le système de la justice pour enfants en France. Cet avocat marseillais dénonce notamment des placements abusifs et des violences dont seraient victimes des centaines d’enfants. 

Maître Michel Amas dénonce le système de la justice pour enfants en France. Le 15 juillet dernier, l’avocat marseillais a fait le “buzz” grâce à une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Son témoignage touche alors près de 4 millions de personnes. 

Poursuivre la lecture de l’article sur Franceinfo



“La société ne peut être le témoin impuissant de la dégradation de la justice des enfants et de la protection de l’enfance”

A l’approche de l’élection présidentielle, les signataires de cette tribune appellent les candidats à réformer la protection de l’enfance et la justice pénale des mineurs, face à une situation “alarmante”. 

“La situation des enfants, des adolescents et adolescentes est alarmante dans notre pays et la crise que connaissent certains tribunaux pour enfants, comme notamment ceux de Bobigny ou de Marseille, oblige à ce que les moyens nécessaires soient dégagés en urgence afin d’y mettre fin.”

Cette tribune, signée par 250 personnes, professionnels de la justice, de l’éducation, de la santé, élus, militants associatifs et représentants syndicaux, appelle à un sursaut des candidats à la présidentielle sur la protection de l’enfance et la justice des mineurs.


Face à ce scandale endémique, j’ai pris la liberté d’interpeler Monsieur Adrien Taquet, Secrétaire d’État auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargé de l’Enfance et des Familles


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LES ARRÊTS DE LA COUR EUROPÉENNE DE STRASBOURG : LE BUT ULTIME DU PLACEMENT EST D’UNIR À NOUVEAU LA FAMILLE

Covid-19 : la vaccination à l’épreuve des chiffres officiels


Laurent Mucchielli est sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire).
Spécialiste des études statistiques, il sonne l’alerte en se basant sur les chiffres édités par les instituts eux-mêmes sur les effets délétères de la vaccination à ARN que les gouvernements tentent d’imposer à la population mondiale.

La lecture de son article et le visionnage de son interview sur France Soir en date du 30 juillet 2021 sont fortement conseillés avant d’initier ou de poursuivre son “parcours vaccinal”.


Valérie Bacot : condamnée mais libérée.


Je salue le verdict de la Cour de Justice de Chalon sur Saône, qui fait du bien et qui rassure sur l’Humanité qui peut encore surgir de cet appareil d’État qui, tout en rappelant que l’on ne peut se faire soi-même justice, a su prendre en compte la réalité du calvaire vécu par cette femme, y trouvant, sinon la légitimation de son geste, au moins la reconnaissance que celui-ci est l’aboutissement du long chemin de croix que lui a fait vivre la victime qui était avant tout le bourreau du meurtrier.

Puisse cette sentence, que je crois non pas clémente mais plutôt juste en regard du statut premier de victime de l’accusée, être un coup de semonce dans la tête de quiconque fort de son pouvoir de domination, se croit invulnérable et tout puissant dans sa position de prédateur, et il faut le dire : malheureusement bien trop souvent conforté dans son action par le laxisme voire la complaisance des représentants de la Loi. Combien de drames seraient évités si les appels au secours étaient entendus et pris en compte dans les commissariats ou les gendarmeries ?

Quelques chiffres pour rappel : sans préjuger de la part de responsabilité de chacun dans la survenue d’un drame, si nous entendons peu souvent relater le fait d’un bourreau exécuté, 90 femmes et 16 hommes ont été tués par leurs conjoints ou ex-conjoints en 2020. Pour cette année 2021, en cette semaine 26, nous en étions hier sauf erreur de ma part à 56 femmes mortes sous les coups de leur conjoint, soit plus de deux par semaine… Combien de ces morts auraient pu être évitées par la simple vigilance et le respect d’ordonnances judiciaires que devraient être à même d’exercer ou de faire exécuter les services ha doc de l’État ?

Je souhaite donc à Valérie Bacot une bonne construction de sa nouvelle vie en espérant que celle-ci la préserve de toute nouvelle relation toxique, et de jouir pleinement et sereinement de sa liberté toute nouvelle qu’elle est en droit à mon sens d’accepter comme une libération.