Un entretien qui met bien en lumière la dérive totalitaire d’un pouvoir qui met ses hommes en place pour mieux contrôler entre autres choses la diffusion de l’information.
Nous saluons au passage le travail de la presse indépendante et des journalistes qui s’investissent, qui investiguent pour faire éclater des vérités, et persistent à témoigner d’une réalité au péril souvent de leur vie.
Ils représentent le dernier bastion d’une liberté d’expression dont la disparition scellerait à jamais, sauf à s’engager dans une sanglante et meurtrière révolution, notre condition d’esclaves soumis à l’ordre des banksters.
Edwy Plenel et Fabrice Arfi répondent aux questions de Brut après la tentative de perquisition chez Mediapart.