Info ou infox ?

Nous ne prétendons pas ici apporter de l’information.
Nous relayons la parole d’animateurs du débat public qui nous ont posé question et dont nous pensons qu’elle mérite au moins notre réflexion.
Nous ne la prenons pas pour argent comptant, et elle ne représente pas un point de vue auquel nous adhérons nécessairement.
Nous laissons à chacun le soin de se faire sa propre opinion en allant par lui-même chercher l’information là où elle se trouve.
Il est certain que s’informer pour se forger une opinion est une occupation à part entière qui demande qu’on lui consacre temps et énergie.
Cela suppose aussi une ouverture et un lâcher prise suffisants pour accepter souvent de mettre de côté nos propres à priori, de parcourir sans les juger avant leur terme des cheminements que nous n’avions ni l’envie ni l’intention d’emprunter et que notre prédisposition aurait plutôt naturellement écarté d’emblée, tant il est vrai que certaines vérités confortables à ignorer, lorsqu’elles se démontrent devant nous peuvent impacter le cours de notre vie.
S’informer demande neutralité et rigueur.
Il ne s’agit pas d’adopter un point de vue par sympathie.
Il s’agit d’analyser des faits s’ils sont avérés, de suivre un raisonnement et une démonstration même si nous n’avons pas les connaissances nécessaires à la compréhension de toutes ses implications ; même si je ne connais rien au langage de la programmation, je puis reconnaître un bon informaticien en ce qu’il me propose une application qui fonctionne parfaitement…
De même, il est possible de jauger la vérité d’un discours à l’aune de la présence ou de l’absence d’arguments fallacieux qui le composent.
Il reste que le doute parfois s’installe, et que seul le temps et le déroulement des événements saura dire à chacun si son intuition penchait du côté de la vérité.

Le véritable visage de l’OMS ?

Alerte !

La qualité de l’air que vous inspirez n’est pas scientifiquement prouvée.

Afin de vous prémunir de tout effet indésirable qui pourrait être induit par l’un ou l’autre de ses composants, le principe de précaution devant rester la règle, il vous est instamment demandé de cesser de respirer jusqu’à l’obtention des résultats d’une véritable étude menée sur le sujet.

Rassurez vous, ces résultats devraient être connus d’ici moins de deux ans, qui reste toutefois le temps nécessaire pour une étude vraiment digne de ce nom.

LA CENSURE EST EN MARCHE…

#COVID-19 Lettre ouverte d’un médecin de Marckolsheim et commentaire de Georges Gastaud contre les interdits de soigner.

…”Peut-on qualifier autrement que de « crime contre l’humanité ou crime de guerre », puisque nous sommes en « temps de guerre !» selon le Président Macron, l’action des pouvoirs publics qui : empêchent les médecins généralistes de traiter efficacement avec le mix hydroxychloroquine-azithromycine classant, comme par hasard, au tableau des substances vénéneuses mi-janvier 2020 une  hydroxychloroquine auparavant en ventre libre”…

Un article à lire sur le site Initiative Communiste

Covid-19 : Pourquoi maintient-on les Français dans la peur ?

En France, le Plaquénil® qui était en vente libre jusqu’en janvier 2020 date de l’apparition du Covid-19, a été retiré des pharmacies, pis encore deux décrets du gouvernement datés du 25 et du 26 mars, ont interdit l’utilisation de cet antipaludéen « dans la prise en charge du Covid-19 en médecine de ville » sous peine d’emprisonnement. On déconfine le 11 mai sans donner aux médecins des armes pour se battre alors qu’ils sont en « guerre » comme Emmanuel Macron l’a signifié lui-même de manière appuyée. Un collectif « Laissons les médecins prescrire » s’est insurgé contre ces décisions et réclame le droit à chaque praticien de prescrire selon son âme et conscience ce qui est dans l’intérêt du patient. Tour d’horizon avec Dr Violaine Guérin, endocrinologue, gynécologue, spécialiste en immunologie et membre de ce collectif qui regroupe près de 1200 médecins jusque-là.

Un article à lire sur Libnanews, Le Média Citoyen du Liban